Les effets secondaires attendus et régressifs sont le PURPURA. Il s'agit d'un éclatement des vaisseaux qui produit des ronds bouges violacés. Le purpura est généralement régressif en 7 à 15 jours. Les viseur laser de dernière génération provoquent moins de purpura que les anciens modèles.Parmi les complications, on rencontre les troubles de la pigmentations: hyperpigmentation (surtout les jambes, surtout chez les sujets à peau foncée, surtout si les conseils d'éviction et de protection solaire sont peu suivis.) qui peut durer des semaines ou des mois. Les hyperpigmentations peuvent être raccourcies par application de corticoïdes ou par crème dépigmentantes)Les hypochromies surviennent quand les cellules mélanocytaires ont été détruites. Elles sont généralement définitives. Parmi les autres risques on trouve les problèmes de cicatrices: les zones exposées sont les régions malaires, les paupières, le cou et les plis. Les nouveaux dispositifs de refroidissement limitent le risque de survenue de cicatrices.
D'autres risques: poussée d'herpes, poussée de psoriaris, dermite eczématiforme, brûlure, bulles, croutes.Le laser comporte toujours une pat imprévisible. Les traitements au laser pour les poussées d'acné ou pour les cicatrices d'acné sont généralement douloureux, malgré le froid pulsé délivré par la machine laser. Aussi, l'usage de crème anesthésique est fréquent. Le médeicn lasériste vérifiera que vous n'avez pas d'allergie avant de vous prescrire la crème. En général, il faut compter un tube de crème pour anesthésier un visage. La crème s'applique en couche épaisse 1h avant le geste et se nettoie à la compresse avec l'acte laser. Il est impoératif de ne pas mettre de pommade EMLA dans les yeux. La crème EMLA n'est accessible que sur ordonnance et elle n'est pas remboursée dans le cadre d'un acte esthétique (On peut acheter son générique, moins cher et tout aussi efficace).Des cas de réactions allergiques localisés ou disséminés ont été décrits après détatouage par le laser. Le passage du laser provoque une dispersion des pigments dans l'organisme et leur fragmentation en particules qui peuvent devenir des allergènes de par leur taille. Il faut donc d’être prudent lors de la destruction d’un tatouage ayant provoqué une réaction inflammatoire cutanée lors de sa réalisation. Des tests allergogiques sont possibles sur certains pigments colorés. Certains tatoueurs notent avec précision les marques, les numéros de lots pigents utilisés dans leurs tatouages. Ce sont des informations de valeur inestimables. Pensez à les demander et les garder précieusement lorsque vous faites un tatouage professionnel.Il est en effet possible d'éclaircir un tatouage au module laser. Le résultat n'esy cependant pas tres beau car on provoque des impacts imparfaitement jointifs. Du coup, le tatouage n'est pas éclairci uniformément. Il est donc conseillé de supprimer complètement le tatouage en l'effaçant.
Par contre, certains tatoueurs peuvent proposer la reprise d'un tatouage. Il s'agit le plus souvent d'une modification de la forme du tatouage. Dan ce cas, il est possible de supprimer une partie du tatouage afin de limiter le travail du tatoueur. En règle général, il faut cependant respecter une règle de prudence. la peau n'aime pas forcément les traumatismes répétés d'un coté du laser et de l'autre du dermographe. Les laséristes prudents ne conseillent donc pas, sauf exception, d'alterner les soins laser et les re-tatouages.
Il convient aussi d'être prudent en matière de détatouage et de ne pas lasériser un grain de beauté qui aurait été dissimulé par les pigments colorés.Le traitement des angiomes plans (taches de vin) est possible chez le jeune enfant. L'avantage est qu'il est souvent superficiel à cet âge et donc accessible.
Le seul laser autorisé chez le bébé est le laser à colorant pulsé (LCP). (La loi interdit l'usage d'autres lasers. Chez le grand enfant ou chez l'adulte, le laser KTP est possible.). Pour le laser à colorant pulsé, la sécurité sociale prévoit un remboursement des séances (les 7 premières puis avec accord et sous réserve de préservation de l'efficacité pour les séances suivantes.). Il n'est pas possible de prévoir le nombre de séances quand on débute.
En général, le LCP efface 30% des angiomes plans, améliore 30% des angiomes, et a peu ou pas d'effet sur le reste.
Le rythme des sances se fait au rythme de une tous les 2 mois jusqu'à l'âge de 1 an, puis ensuite tous les 3 mois. L'anesthésie se fait généralement par pommade EMLA chez le jeune enfant. Parfois une anesthésie par injection est utile. Dans de rares cas bien pesés, l'anesthésie générale est discutée (étendue de la lésion et agitation du l'enfant).La technique fait appel à une longueur d'onde de 590 à 600 nm, un tps de pulse de 1 à 2 ms avec des fluence d'une dizaine de Joules par cm2 (à adapter sur les zones fragiles: paupières ou cou par exemple.)Les effets secondaires attendus et régressifs sont le PURPURA. Il s'agit d'un éclatement des vaisseaux qui produit des ronds bouges violacés. Le purpura est généralement régressif en 7 à 15 jours. Les lasers de dernière génération provoquent moins de purpura que les anciens modèles.Parmi les complications, on rencontre les troubles de la pigmentations: hyperpigmentation (surtout les jambes, surtout chez les sujets à peau foncée, surtout si les conseils d'éviction et de protection solaire sont peu suivis.) qui peut durer des semaines ou des mois. Les hyperpigmentations peuvent être raccourcies par application de corticoïdes ou par crème dépigmentantes)Les hypochromies surviennent quand les cellules mélanocytaires ont été détruites. Elles sont généralement définitives. Parmi les autres risques on trouve les problèmes de cicatrices: les zones exposées sont les régions malaires, les paupières, le cou et les plis. Les nouveaux dispositifs de refroidissement limitent le risque de survenue de cicatrices.
D'autres risques: poussée d'herpes, poussée de psoriaris, dermite eczématiforme, brûlure, bulles, croutes.L'épilation laser doit être, dans la mesure du possible, réservée aux adultes ou adolescents puberts. Il est déconseillé d'épiler au laser les enfants de moins de 14-15 ans n'ayant pas passé la puberté dans la mesure où l'impregnation hormonale peut à nouveau stimuler des follicules pilleux jusqu'alors en sommeil et sur lesquel le laser astronomie n'est pas efficace. L'apparition des règles est également contemporaine d'une explosion hormonale avec souvent une stimulation de la pousse des poils. SI on lasérise trop tôt, on n'est pas efficace.
Dans de rares cas, s'il y a un retentissement psychologique très important, sous couvert d'un avis psychologique et d'une réflexion prolongée, les laséristes acceptent parfois de traiter. Il n'y a que peu de données dans la littérature scientifique concernant les enfants. Le principe de précaution doit prévaloir. Ceci d'autant plus qu'il existe des solutions pour contourner la difficulté comme la décoloration en attendant l'âge minimum de l'épilation laser.
Il ne fait pas perdre de vue que l'ado est un adulte en construction qui cherche son identité. L'évolution de l'ado se fait parfois avec des allers et venus d'une image à l'autre, parfois dans l'accès, pour finalement revenir dans une certaine forme de 'normalité'. L'épilation laser est un procédé définitif et irreversible qui peut poser problème et stresser l'ado en pleine recherche d'identité car aucun retour en arrière ne sera vraiment possible.Il est parfois urgent de savoir attendre.Traiter un problème psychologique lié à la pillosité chez le jeune enfant ou l'ado doit être pris au sérieux et faire intervenir plusieurs participants: l'ado, le médecin traitant, les parents et parfois un psychologue qui aidera le jeune et qui s'assurera que la plainte liée à la pillosité est bien réelle et non pas un arbre qui peut cacher une forêt où le traitement laser n'apporterait alors rien.L'infection des follicules pileux est une pathologie fréquente. Elle est de plus favorisée par les manoeuvres d'extraction ou de traumatisme des poils par la pince, la cire ... On retrouve les folliculites sur les bords de la barbe chez l'homme ou la femme, sur les bords du maillot et dans le pli inerfessier.Le kyste pylo nidal est une complication infectieuse de poils poussant sous la peau. Il doit parfois être traité par une chirurgie au bloc opératoire.
Le traiement par laser apporte un certain nombre de solutions au problème des folliculites. En suprimant le poil normal ou inclus sous la peau, il supprime la cause majeure de l'infection. L'absence de poils après traitement laser supprime aussi les tentatives de manipulation de poils et donc le risques infectieux. Le traitement laser diminue ou réduit de façon importante les risques infectieux.Les lasers vasculaires sont efficaces sur les varicosités de l'aile du nez. Le laser KTP ou à colorant pulsé, par exemple, présentent une efficacité connue dans cette indication médicale et esthétique. Il faut compter en règle générale une à deux séances pour traiter ces télangiectasies. Le principe du traitement réside dans le fait de provoquer une coagulation du sang dans les petits vaisseaux. Cette coagulation mène à des phénomènes qui eux mêmes aboutissent finalement à une occlusion quasi définitive du vaisseau. On parle de sclérose par laser.
Le traitement par laser des vaisseaux de l'aile du nez est généralement sensible. Afin d'annuler la douleur, on applique généralement une crème anesthésique ou on effectue une petite anesthésie locale selon les souhaits du patient. Les suites du traitement sont généralement simple. Il apparait parfois quelques petites croutes. Le procéssus complet de sclérose des télangiectasies va durer plusieurs mois.Le laser a pour but de détruire la bulbe/bulge pilleux en volatilisant la mélanine qui y est contenue. Or le poil contient de la mélanine sur toute sa longeur. Il y a donc une cible laser tout du long alors que seule la partie incluse dans la peau mérite le traitement. Aussi, pour que toute la puissance du laser soit concentrée sur la zone utile, on coupe le poil. Ceci aussi évite, au passage, à la partie aérienne du poil non coupé de chauffer en se tortillant et de venir se coller à l'épiderme (risque de micro brulure). Sur un autre point de vue, le fait pour un médecin lasériste de demander à la patiente de se raser, lui permet de savoir exactement ce qui est désiré. Dans l'épilation du maillot par exemple, il y a beaucoup de variantes dans les souhaits des patientes, aussi le fait pour chacune de se raser donne la conduite à tenir au médecin.Les soucils présente des caractéristiques importantes quand on effectue une épilation laser. Ils ont en effet la propriété de n'être pas implantés de façon droite. Les sourcils poussent en épi avec une direction du centre du visage vers l'exterieur et le haut. Cette particularité les rend difficile à traiter au Pointeur laser 5000mw dans la mesure où un tir laser droit ne touche pas les bons bulbes/bulges avec un risque de résultat à la Obispo. Les lasériste tentent donc de limiter le traitement à l'espace inter-sourcillier qui, lui, ne présente pas de surprise. Le traitement est tres simple, rapide et bien supporté. Sur cet endroit, les yeux sont protégés par des coquilles en métal afin d'éviter toute lésion de la rétine. L'acte est sans danger.
Les lasers entrent maintenant en phase mature. En matière vasculaire ou d'épilation, il n'y a plus réellement de progrès technique mis à part une amélioration des vitesses de traitement et une automatisation de confort. Le traitement laser est en lui même toujours le même sans amélioration de l'efficacité. Sauf à consulter un praticien disposant d'une machine vieille de plus de 10 ans, il n'y a pas de réelle différence sur les résultats vasculaires ou dépilatoires. En matière de rajeunissement, cet avis doit être nuancé car les dernières techniques lasers apportent en effet un plus (ces lasers ont quand même 4 ou 5 ans maintenant). Il convient de mettre dans la balance le fait qu'un centre laser ou un médecin équipé de la dernière technologie ne pourra peut être pas facilement pratiquer des tarifs raisonnables car il doit amortir un investissement plus lourd (les dernières technologies sont plus chères).Il convient aussi, en matière médicale, de suivre un principe de précaution visant à utiliser des technologies qui ont fait leur preuves. Un matériel dernier cri peut, dans certains cas, ne pas donner de recul suffisant alors qu'un matériel de génération antérieure aura le mérite d'un recul de 5 à 6 ans. Il peut s"agir d'un avantage en matière de fiabilité mais aussi de sécurité des patients. La règle en esthétique et en médecine, en général, étant de ne pas faire courrir de risque inconsidéré au patient.
Les angiomes plans ou taches de vin réprésentent une famille de lésions vasculaires hyper-superficielles dans la peau. Elles s'étendent en surface et sont donc visibles. Les angiomes plans de l'enfant sont plus réceptifs aux traitements laser car ils sont superficiel et avec des vaisseaux de petit calibre. L'angiome plan de l'adulte (tache de vin) est souvent plus profond et en conséquence moins accessible au laser où simplement partiellement accessible. Le laser efficace sur la tache de vin est un laser vasculaire de type KTP ou colorant pulsé. Le principe vise à détruire progressivement les couches capillaires de la lésion. Le colorant pulsé est utilisé le plus souvent à main levée par l'opérateur. Le KTP, quant à lui, est utilisé volontier avec un scanner numérique car les impacts sont plus petits.
Le traitement des taches de vin chez l'adulte est une affaire de patience. Il n'est pas rare d'avoir besoin de 10 séances. On compte environ 30% de disparition, 30% d'amélioration, et 40% d'inefficacité (quand les vaisseaux sont profondément enchassés dans la peau, donc inaccessible au laser).Il existe plusieurs types de cicatrices d'opération de la thyroïde. On distingue en effet les cicatrices dépigmentées ou acromiques, les cicatrices hypervascularisée (plutôt rouges), les cicatrices hyperpigmentées (plutot marron).
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http://candylaser.ikkyoi.com/d2015-07-31.html